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Horizon Worlds, le “métavers” de Facebook est désormais disponible en France

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La plateforme sociale et virtuelle de Facebook s’est officiellement déployée en France et en Espagne. Elle compte actuellement 300.000 utilisateurs actifs mensuels.

Le PDG de Facebook (Meta), Mark Zuckerberg, a annoncé ce mardi 16 août l’arrivée de son “métavers” Horizon Worlds en France et en Espagne.

C’est au moyen d’une photo représentant son avatar, devant des versions virtuelles de la Tour Eiffel et de ce qui semble représenter la Sagrada Familia que le patron de l’entreprise l’a annoncé.

“Nous lançons Horizon Worlds en France et en Espagne aujourd’hui ! Nous avons de voir les gens explorer et construire des espaces immersifs, et de pouvoir le déployer rapidement dans d’autres pays”, a précisé le chef d’entreprise sur Facebook.

Cette plateforme “sociale” n’est accessible qu’aux propriétaires d’un casque Oculus Quest. Il s’agit plus ou moins d’une plateforme “bac à sable”, où chacun peut se retrouver, discuter, écouter un concert ou participer à des activités virtuelles. On y discute oralement au moyen d’un casque.

Les utilisateurs peuvent également, depuis avril, y ouvrir des “boutiques” pour vendre des objets virtuels, comme des vêtements pour son avatar. Meta prélève par ailleurs sur ces objets une forte commission, d’un peu moins de 50%.

La modération pointée du doigt

Horizon Worlds est disponible depuis 2021 aux États-Unis, où, en février, Meta revendiquait environ 300.000 utilisateurs actifs mensuels. Son ouverture en France et en Espagne était prévue, et d’autres pays devraient rapidement suivre.

Normalement reservée aux personnes majeures, la plateforme n’a eu de cesse de soulever des craintes depuis son déploiement aux États-Unis. Ces inquiétudes, principalement liées au manque de modération, se sont révélées fondées lorsque plusieurs personnes, notamment des utilisatrices, ont indiqué y avoir été harcelées ou agressées sexuellement.

Plusieurs témoignages indiquent également la présence de personnes mineures, pouvant alors être exposés à des prédateurs potentiels. Pour pallier ces inquiétudes, Meta a mis en place un système de distanciation sociale pouvant être activé à la discrétion de l’utilisateur.

Des défenseurs de la vie privée ont également pointé du doigt un risque de collecte accrue des données personnelles faite par l’entreprise, qui est déjà largement surveillée à ce sujet. Un cadre de Facebook lui-même a décrit le métavers comme un lieu “toxique”, notamment pour les femmes et les minorités, si la modération n’était pas au niveau.

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