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TikTok généralise le bouton “Je n’aime pas” dans les commentaires


Les utilisateurs de TikTok peuvent désormais déposer la mention “Je n’aime pas” sur un commentaire.

Le réseau social TikTok vient de généraliser le déploiement d’un bouton “Je n’aime pas” dans la section “commentaires” de ses vidéos, afin de “mieux mettre en avant” les contenus les plus pertinents.

“Une nouveauté arrive! Plus tôt dans l’année, nous avons commencé à tester une nouvelle façon pour les utilisateurs de dénoncer des commentaires qu’ils estiment impertinents ou inappropriés. Après cette période de test, nous le déployons à tout le monde”, indique le réseau social sur Twitter.

Question de référencement

TikTok précise par la suite que ce nouveau dispositif a pour objectif de permettre aux équipes du réseau social de mieux identifier les contenus inappropriés, afin de “favoriser une section commentaire avec des interactions authentiques et sincères”.

Selon les informations données par TikTok, le nombre de “Je n’aime pas” donnés à un commentaire n’est pas affiché publiquement. Dans l’état, il permet surtout à TikTok de faire remonter certains commentaires ou non dans la section dédiée. Le bouton est symbolisé par un “pouce en bas” comme sur la majorité des réseaux sociaux. Une fois un “Je n’aime pas” déposé, il est possible de le retirer en cliquant de nouveau dessus.

Si un commentaire reçoit un très grand nombre de “Je n’aime pas”, il n’est cependant pas forcément voué à disparaître.

La fonction "Je n'aime pas" de TikTok
La fonction “Je n’aime pas” de TikTok © TikTok

Les boutons “J’aime et “Je n’aime pas” sont l’une des constantes des réseaux sociaux. Mais ceux-ci ont parfois joué des rôles dans des cas de harcèlement, et les plateformes ont dû agir en conséquence pour réduire leur impact. Il y a peu, YouTube a masqué le nombre de “Je n’aime pas” sur ses vidéos. Il est toujours possible de cliquer dessus, mais le chiffre total n’est plus affiché.

De même, Instagram a masqué le nombre de “J’aime” sur les photos de certains utilisateurs, dans une optique de préservation de la santé mentale, notamment chez les adolescents.

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