in

Une ferme à la fine pointe de la technologie

[ad_1]

Un producteur avicole de St-Léon-le-Grand en Mauricie qui a perdu à cause d’incendies, un garage, sa maison et un poulailler, fait maintenant tout reconstruire, dont son bâtiment d’élevage à la fine pointe de la technologie. 

Ce modèle européen lui permettra de tout voir et contrôler à distance et surtout, de faire des économies. 

«On va lire tous les besoins des animaux : la température, l’oxygène, tout ça et s’il manque d’oxygène, on va accélérer les ventilateurs pour aller plus vite», a expliqué le président d’Agrinuvo, Jean-Pierre Pétrin. 

«L’utilisateur est appelé sur son téléphone, il y a des systèmes d’alarme pour le prévenir qu’il y a des problèmes de température, de silos qui se déversent dans le vide, tout un tas de sécurité», a décrit Benjamin Saint-Pe de la Société Sodalec France. 

«C’est une installation très contemporaine de contrôle et d’automatisation. Nos fermes canadiennes et québécoises deviennent de plus en plus grosses, de plus en plus de capacité», a ajouté le président et propriétaire de Prev Tech Innovation, Pierre-André Meunier. 

«Je pense faire des économies de chauffage entre 50 et 60 % minimum», a affirmé le propriétaire de la ferme Yvan Ferron. 

Le concept est fondé sur le bienêtre animal. Le FLOW en terme plus technique. 

F pour food, la nourriture. L pour light : l’éclairage. 

«Avec un bon éclairage animal, on va chercher la productivité animale. Blue Line a construit un système d’éclairage qui est capable de reconstituer, en tout temps, l’énergie solaire», explique le directeur général de JPS Électronique, Guy Courcelle. 

O pour l’oxygène

«En clair, on va récupérer les calories du bâtiment. Avant de les mettre dehors, on va réchauffer un bloc qui est à l’intérieur et l’air neuf qui va arriver froid, on va la préchauffer avant qu’elle rentre à l’intérieur et ce qui va permettre aussi de réduire l’humidité du bâtiment», a détaillé le directeur commercial de la Société Le Roy, Anthony Gobin. 

W pour water, l’eau et la brume. 

«Un produit naturel qui est mélangé dans l’eau de boisson et grâce à ça, on va diminuer l’impact médicamenteux dans l’élevage», a expliqué Bastien Gruet de la Société Ar-Tekh. 

Les producteurs avicoles de partout au Québec sont invités à la ferme d’Yvan Ferron, samedi, pour visiter les installations qui sont uniques au Québec, au Canada et même en Amérique du Nord.



[ad_2]

What do you think?

Written by Germain

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *

Plus de 20 % de la Terre auraient été érodés par les impacts cosmiques lors de sa formation !

«Le monde à l’envers»: une urgentologue intoxiquée à l’arsenic demande au gouvernement d’agir