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La planète brûle, point de non-retour ?

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À la une du vendredi 28 octobre, les nouvelles alertes des climatologues sur le réchauffement climatique, le rachat de Twitter par le multimilliardaire Elon Musk et les dernières annonces de la Nasa.

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On connaît l’adage : “Notre maison brûle et nous regardons ailleurs”. Peut-être ne pourrons-nous plus bientôt fermer les yeux ?, écrit The Guardian. “Pas de retour en arrière ?”, s’interroge le journal britannique qui fait écho aux inquiétudes de l’ONU sur nos capacités à contenir la hausse des températures à 1,5 degré. Le réchauffement climatique est aussi à la Une de Libération avec cet automne qui n’en finit plus d’afficher des températures supérieures à la moyenne : “Un redoux qu’on redoute”, titre le quotidien. Ces températures “anormales de saison” inquiètent la communauté scientifique car elles surviennent après un été marqué par une sécheresse historique. L’automne aurait pu marquer une accalmie mais, à court terme, avertissent les scientifiques, il pourrait y avoir un problème d’accès à l’eau, notamment avec un assèchement prolongé des nappes phréatiques.

Depuis plusieurs décennies, les écologistes tentent d’alerter l’opinion sur l’urgence de la situation. Mais face à l’accélération du réchauffement climatique, certains ont choisi des méthodes “radicales” pour tenter de faire bouger les lignes. Hier, dans un musée des Pays-Bas, explique De Telegraaf, deux militants écologistes s’en sont pris au célèbre tableau de Vermeer, “La jeune fille à la perle”. L’un d’eux s’est collé le visage contre la vitre protégeant le tableau. Si celui-ci est intact, la méthode interpelle.

Comment attirer l’attention médiatique quand on n’a peu de moyens mais une cause à défendre ? Le Monde revient sur ces activistes qui, pour alerter sur le réchauffement climatique s’en prennent à des œuvres d’art, avec comme question : “Ces œuvres valent-elles plus que nos vies ?” Un mouvement militantiste, né au Royaume-Uni, sous le nom “Just Stop Oil”, qui s’est décliné en Allemagne et en France. Pour ces militants, explique le New York Times, le but n’est pas de saccager des chefs-d’œuvre puisqu’ils visent, à chaque fois, des tableaux protégés par des vitres, mais de choquer, quitte à être impopulaire. “L’intérêt”, disent-ils, c’est que l’attention qu’ils attirent leur permettent de faire passer leur message. Mais cela peut-être à “double tranchant”, explique le journal américain. Quand on jette de la soupe ou de la purée sur Van Gogh, “est-ce que la Terre peut gagner ?” Difficile à évaluer car si la cause est la noble, les moyens sont plus discutables et, surtout, peu appréciés par certains climatologues.

C’est fait : 44 milliards de dollars pour acquérir l’un des réseaux sociaux les plus influents du monde. Elon Musk avait jusqu’à vendredi pour officialiser son rachat de Twitter, sous peine de procès, explique le Washington Post. À peine racheté, le milliardaire a imposé sa griffe sur l’entreprise en licenciant les principaux dirigeants de l’entreprise manu militari. Sur le plan comptable, l’intérêt économique est difficile à déterminer car Twitter gagne peu d’argent, au contraire des rivaux. Mais ce qui est sûr, nous dit le New York Times, c’est qu’Elon Musk va gagner en influence. “Comment Elon Musk est devenu un agent du chaos géopolitique mondial ?”, titre l’article. Depuis plusieurs années, il n’a pas hésité à s’immiscer dans différents conflits de la planète en donnant son opinion sur Taïwan et la Chine ou encore, récemment, en proposant sur son compte Twitter, un plan de paix entre la Russie et l’Ukraine. Le texte jugé trop favorable à Moscou avait suscité de vives critiques de la part des Ukrainiens.

La Nasa avait promis des annonces “importantes”. Hier, l’agence américaine a dévoilé avoir détecté deux impacts de météorites survenues à la fin de l’année dernière. Le Figaro raconte qu’il s’agit des plus importants impacts jamais détectés dans tout le système solaire. Une vue d’artiste montre que des projectiles ont été répartis sur un rayon de 37 kilomètres. Selon The Guardian, le plus gros des cratères mesure environ 150 mètres de diamètre. La masse de la météorite l’ayant percuté est évaluée entre 250 et 600 tonnes, soit l’équivalent d’une camionnette, indique le journal britannique. Cette collision a permis de mettre à jour de la glace d’eau qui se trouvait dans la roche. Cette glace pourrait être essentielle à de futures missions d’exploration de la planète avec des astronautes.

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