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Modern Warfare 2 établit un nouveau standard graphique dans le jeu de tir

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Le dernier opus de la saga Call of Duty a bénéficié de technologies inédites. Sorti ce 28 octobre, Modern Warfare 2 pousse le réalisme au maximum pour un niveau d’immersion jamais atteint.

“C’est le plus gros jeu que nous n’ayons jamais fait.” Si tous les développeurs souhaitent scander cette phrase, Brian Bloom est bel et bien en mesure de le faire. Avec Modern Warfare 2, sorti le 28 octobre, le directeur narratif de Call of Duty et scénariste principal de l’épisode a concocté le titre le plus immersif de la franchise.

S’appuyant sur une montée en gamme technologique, le dernier titre d’Activision parvient à redéfinir les standards habituels du jeu de tir. Fidélité des décors, nouvelles mécaniques de jeu ou encore réalisme des personnages, chaque brique de Call of Duty: Modern Warfare 2 fait penser, d’un point de vue technique, à l’épisode parfait.

Des performances d’acteurs modélisées sans retouche

Dès le premier coup d’œil, les cinématiques frappent. La technologie de motion capture a connu des améliorations significatives ces dernières années. Résultat, la différence entre la captation des performances d’acteur et leur modélisation sous forme de personnages s’efface.

Pour la première fois, les développeurs d’Infinity Ward n’ont pas eu besoin de retoucher les scènes. Sur les précédents épisodes, un artiste devait adapter les performances des acteurs pour mieux les modéliser dans le jeu. Aujourd’hui, il n’en est plus question.

“Désormais, cela paraît réel et ressemble à une véritable prise”, se félicite auprès de Tech&Co Jeffrey Negus, le directeur narratif du studio Infinity Ward.

“C’est une chose très importante pour nous, poursuit-il. Sur la partie narrative, notre boulot est de rendre les choses vivantes en créant une alchimie. Et cette alchimie a besoin d’être saisie et traduite à l’écran.” Une possibilité maintenant accessible par le biais de la motion capture.

Aussi, des outils narratifs favorisent l’intégration du joueur au sein d’une aventure globale. Parfois, une mécanique de dialogue avancée est proposée. Au-delà des simples choix déjà vus dans la licence, différentes questions peuvent être posées aux alliés. Pour les créateurs, il s’agit d’un moyen d’améliorer les liens avec les personnages secondaires.

Une reproduction d’Amsterdam par photogrammétrie

Toujours dans cette quête de réalisme, le studio de développement a également misé sur les décors. En passant par Amsterdam, Mexico ou encore Chicago, la campagne de Modern Warfare 2 s’inscrit dans la tradition de la série Call of Duty: raconter une histoire menant le joueur aux quatre coins du monde.

“Nous avons utilisé la photogrammétrie pour recréer certains endroits fidèlement”, précise Brian Bloom, le scénariste principal de Modern Warfare 2.

Cette technique consiste à utiliser des photos d’un même objet ou lieu prises sous différentes perspectives pour en capter le relief. Avec elle, Infinity Ward a pu reproduire un quartier de la capitale néerlandaise avec le plus grand soin. Avec à la clé, un résultat bluffant.

Pour Brian Bloom, apporter un tel niveau de détail dans les graphismes rend le contenu du jeu plus crédible. Ce qui engage davantage le joueur. “Cela nous donne l’opportunité de raconter la plus incroyable et la plus immersive des histoires que nous avons jamais écrite”, confirme le directeur narratif de la franchise.

Ces améliorations reposent en partie sur le saut technologique apporté par les nouvelles consoles: la PlayStation 5 et les Xbox Series. Mais les développeurs assurent que ce sont avant tout les avancées menées sur le moteur de jeu qui ouvrent la voie à ce degré d’immersion.

Une technologie de modélisation consacrée à l’eau

Toutefois, la nouvelle génération de consoles a permis de mettre en place une technologie spécifiquement liée à la représentation de l’eau. Une innovation tellement importante aux yeux du studio que l’élément est presque un personnage à part entière de l’histoire. Le studio a d’ailleurs dû modéliser une structure numérique pour donner vie à l’eau présente dans le jeu.

“C’est quelque chose que nous n’aurions pas pu faire dans les derniers opus”, reconnaît Jeffrey Negus, le directeur narratif d’Infinity Ward.

A plusieurs reprises au cours de la campagne, le joueur sera placé dans l’eau. Avec pour la première fois, la possibilité d’engager le combat à la surface, mais aussi sous l’eau. Cette nouvelle fonctionnalité apporte une dose d’immersion supplémentaire en multipliant les approches disponibles.

Sur le plan du réalisme aussi, la représentation de l’eau fixe une nouvelle norme. “C’est de la génération procédurale”, explique Jeffrey Negus. “Cela veut dire que l’eau réagit en fonction des mouvements du joueur.”

De plus, ces améliorations viendront agrémenter l’expérience en ligne des joueurs. Une bonne nouvelle puisque la promesse de Call of Duty: Modern Warfare 2 est de débuter une nouvelle ère pour la franchise. Pour la première fois depuis 2005 et la parution du deuxième opus de la licence, Call of Duty devrait se passer de son traditionnel épisode annuel en 2023.

Pour pallier ce manque, le jeu de tir pourra compter sur Warzone 2.0, la nouvelle version du Battle Royal issu de la série, attendu pour le 16 novembre. Et avec cet attirail d’amélioration, Call of Duty place toutes les chances de son côté pour raviver la flamme avec un public resté sur sa faim depuis quelques opus.

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Written by Germain

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