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L’ancien cofondateur de Twitter fait le buzz avec son nouveau réseau social Bluesky

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« Un clou chasse l’autre », pourrait-on dire ! Alors que Twitter est à la peine avec son rachat par le fantasque Elon Musk qui a licencié 70 % de ses effectifs, voici Bluesky, le réseau social construit sur un nouveau protocole qui donne plus de contrôle à ses utilisateurs, selon les dires de son créateur, Jack Dorsey, qui n’est autre que l’ex P.-D.G. et cofondateur de l’oiseau bleu. Les gazouillis vont bon train et les offres d’emploi aussi !

Le timing est parfait. Alors que Twitter souffre de plus en plus depuis l’arrivée d’Elon Musk à sa tête, Jack Dorsey, l’un des fondateurs de Twitter, commence à faire le buzz avec son nouveau réseau social : Bluesky. Mais au fait, que propose cette nouvelle plateforme ?

Après l’oiseau bleu, Jack Dorsey reste dans le bleu. Bluesky, ou ciel bleu en anglais, est le nouveau bébé de l’homme d’affaires. Le projet est né en 2019, lorsque Jack Dorsey était encore à la tête de Twitter. Le réseau social a d’ailleurs financé Bluesky à hauteur de 13 millions de dollars. « La société Bluesky PBLLC, créée cette année, est une entreprise indépendante axée sur la recherche et le développement en matière de réseaux sociaux décentralisés », a tenu à préciser toutefois l’équipe derrière ce projet. 

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C’était en avril dernier, lorsque le futur du réseau social du petit oiseau bleu était encore incertain. En octobre dernier, Bluesky annonçait l’ouverture d’une liste d’attente pour les internautes curieux de tester la version bêta du projet. Un succès, puisqu’en à peine deux jours, 30 000 personnes se sont inscrites.

Avec Bluesky, Jack Dorsey souhaite proposer un réseau social « ouvert et décentralisé », permettant à différents réseaux de pouvoir interagir entre eux, tout en respectant un protocole commun. De cette façon, quiconque pourra développer son propre réseau avec ses règles de modération et son algorithme.

En mai 2022, l’entreprise dévoilait son premier protocole, Authenticated Data Experiment ou ADX, renommé depuis Authenticated Transfer Protocol (« Protocole de transfert authentifié ») ou « Protocole AT ». En clair, ce système permettrait d’accéder à plusieurs services, capables de communiquer entre eux grâce à la décentralisation.

Mieux contrôler les algorithmes

Au cœur de l’offre de Bluesky, se trouve la possibilité de contrôler l’algorithme : « Les algorithmes dictent ce que nous voyons et qui nous pouvons atteindre. Nous devons avoir le contrôle de nos algorithmes si nous voulons avoir confiance en nos espaces en ligne. Le protocole AT comprend un mode algorithmique ouvert afin que les utilisateurs puissent mieux contrôler leur expérience », peut-on lire sur le compte Twitter du projet. Pour le moment, aucune précision n’a été donnée quant à la manière de « contrôler » cet algorithme.

L’identité en ligne d’une personne ne devrait pas être détenue par des sociétés qui n’ont aucune responsabilité envers leurs utilisateurs

Le contrôle est le maître-mot dans le discours de Bluesky. Un bon moyen pour trancher avec la réputation des réseaux sociaux actuels. Le projet permettra à un utilisateur de gérer ses données et de les stocker où bon lui semble : « L’identité en ligne d’une personne ne devrait pas être détenue par des sociétés qui n’ont aucune responsabilité envers leurs utilisateurs. Avec le protocole AT, vous pouvez transférer votre compte d’un fournisseur à un autre sans perdre aucune de vos données ».

En plus d’avoir attiré 30 000 nouveaux utilisateurs potentiels, Bluesky a également publié plusieurs offres d’emplois, à l’heure où Elon Musk a licencié une bonne partie des employés de Twitter.

 

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