ESTIMATION DE LA DISTANCE À PARTIR DES INDICES MONOCULAIRES DANS UNE TÂCHE VISUOMOTRICE ETHOLOGIQUE.
Dans cette étude, les chercheurs ont développé une tâche d’estimation de distance visuelle pour les souris se déplaçant librement, et ont révélé que les souris peuvent efficacement exploiter les indices monoculaires, en particulier les indices de parallaxe de mouvement provenant des hochements de tête, pour estimer la profondeur visuelle.
Le comportement de discrimination de profondeur naturelle de la vision binoculaire chez les souris expliqué par l’activité corticale visuelle. Cette étude identifie les types de RGC responsables des projections ipsilatérales (ipsi-RGC) et démontre que l’ablation sélective de ces cellules spécifiques (<2% des RGC) chez les souris adultes nuit significativement à leur succès de chasse.
Les souris apprennent des itinéraires multimodaux en mémorisant des emplacements de sous-objectif. Durant la capture de proies par les souris de laboratoire, la vision guide un comportement d'approche précis.
Cette étude analyse les enregistrements de la position des yeux et de la tête durant la capture de proies par les souris, et révèle que les mouvements oculaires chez les souris, même pendant des comportements dynamiques et interactifs, servent à maintenir la stabilité du regard pendant les mouvements de la tête et à faciliter le repositionnement du regard lors de rotations de tête dirigées avec une remarquable précision.
Réaction défensive rapide et innée des souris aux stimuli visuels imminents. Vision guide la sélection de stratégies de défense par le gel ou la fuite chez les souris.
Cartographie spécifique à la région de la disparité binoculaire à travers le cortex visuel des souris. Cela met en évidence la présence de cellules de direction de la tête enregistrées du post-subiculum chez les rats se déplaçant librement, soulignant les effets des manipulations environnementales.
Effets des changements de l'environnement sur la décharge spatiale des cellules complexe de hippocampe. Cela montre que les cellules de direction de la tête enregistrées du post-subiculum chez les rats se déplaçant librement.
Les neurones de la décharge têtent-o- et la décharge spatiale enregistrés du post-subiculum chez les rats se déplaçant librement. La première preuve de l'activité d'unité du cortex entorrhinal enregistrée chez les rats se déplaçant librement.
Cellules de lieu et cellules de grille, et le système de représentation spatiale du cerveau. Revue sur les différentes sortes de cellules spatiales et leur rôle dans la formation d'une carte cognitive, avec une discussion sur les autres neurones modulés spatialement qui peuvent contribuer à cette carte.
Hippocampe en tant que carte spatiale. Premier signe d'activité d'unité chez les rats se déplaçant librement.
Microstructure d'une carte spatiale dans le cortex entorrhinal. Ce travail propose un système de caméra fixée sur la tête pour le suivi de tête et les mouvements oculaires chez les souris, fournissant une base méthodologique cruciale pour l'étude de la vision chez les souris en mouvement non restreint.
Rôle du mouvement actif dans la décharge spécifique à l'endroit des neurones de l' hippocampe. Ceci démontre que la modulation spatiale de la voie visuelle centrale émerge dans V1, persiste dans le SHTPE et est renforcée par l'exploration active.
Un circuit pour l'intégration des signaux de mouvement de la tête et visuels dans la couche 6 du cortex visuel primaire des souris. Cette étude montre l'existence de signaux liés à la direction et à la vitesse angulaire de la rotation horizontale de la tête dans les neurones de la couche 6 de la V1, suggérant que le traitement du mouvement visuel dans le V1 L6 est multisensoriel et dépend du statut de mouvement de la tête de l'animal.
Distinction du mouvement généré par les mouvements de saccades dans le cortex visuel. Lors des mouvements oculaires de saccades, en intégrant une entrée non visuelle provenant du pulvinar avec l'entrée visuelle de la rétine, la V1 montre des réponses différentielles aux mouvements externes et auto-générés.
Un système de caméra monté sur la tête pour l'enregistrement comportemental détaillé avec une électrophysiologie multicanaux chez les souris se déplaçant librement. Ce travail propose un outil open-source pour un système de suivi de tête et d'yeux léger et monté sur la tête pour les souris, qui fournit une base méthodologique cruciale pour l'étude de la vision chez les souris lors d'un mouvement non restreint.
Rôle du mouvement actif dans la décharge spécifique à l'emplacement des neurones de l'hippocampe. Ce travail suggère que la modulation spatiale dans la voie visuelle centrale émerge dans V1, persiste dans les HVAs, et est renforcée par l'exploration active.
Origines de l'encodage des repères dans le cerveau. Un résumé des preuves sur la manière dont l'information visuelle pourrait être traitée le long de plusieurs voies de traitement corticales et transformée en signaux spatiaux dans le système limbique, mettant en évidence le rôle du présubiculum dorsal.
Hypothèse à deux flux du traitement visuel pour la navigation chez la souris. Un aperçu des différentes cellules spatiales et de leur rôle dans la cognition spatiale, et discute des neurones supplémentaires modulés spatialement qui pourraient contribuer à cette carte.
Codage cohérent de la position spatiale subjective dans le cortex visuel et l'hippocampe. Cette étude révèle des modulations spatiales des neurones V1 de la souris en montrant que les neurones V1 répondent différemment au même point de repère visuel dans différentes positions spatiales le long d'un corridor VR, et que les modulations se synchronisent avec les représentations hippocampiques.
Attentes spatiales dépendantes de l'expérience dans le cortex