**KENYA ORDERS SUSPENSION OF WORLD COIN PROJECT AMID PRIVACY AND SECURITY CONCERNS**
Le gouvernement kényan a demandé l’arrêt de la collecte de données par Worldcoin dans le pays, le temps d’examiner le projet pour d’éventuels risques de confidentialité et de sécurité, selon Reuters. Worldcoin est un projet lancé par Sam Altman, fondateur de OpenAI, qui utilise l’analyse de l’iris pour créer une identité numérique unique, liée aux crypto-monnaies gérées par l’application World. Le projet a été lancé la semaine dernière et a suscité l’intérêt des personnes se pressant pour faire scanner leurs iris par les orbs argentés placés dans les grandes villes du monde entier.
Les autorités kényanes ont révélé que la Comité des Communications du Kenya allait évaluer Worldcoin en raison d’un “manque de clarté concernant la sécurité et le stockage” des scans des iris collectés, ainsi que d’une “incertitude” autour de la crypto-monnaie associée. Le Comité a également émis des réserves quant aux incitations offertes aux personnes pour se faire scanner les iris.
Selon un rapport de Rest of World, les Kenyans ont reçu 25 Worldcoins, équivalant à environ 7 100 shillings kényans (environ 50 dollars), simplement en s’inscrivant au service. Le rapport notait également que peu de personnes étaient familières avec les objectifs du projet et recherchaient plutôt la récompense de 50 dollars. Suite à la suspension, les autorités ont dû refuser l’accès à des milliers de personnes attendant dans la queue pour faire scanner leurs iris, rapporte The Standard, un journal kényan.
Le Kenya n’est pas le seul pays à s’intéresser aux risques potentiels liés à Worldcoin. Les régulateurs en France, en Allemagne et au Royaume-Uni examinent également le projet et la possible violation des protections de la vie privée. Malgré cela, Worldcoin affirme que les données biométriques ne quittent jamais l’orb et sont définitivement effacées après l’inscription. La société enregistre uniquement le IrisCode, un ensemble unique de chiffres représentant l’identité de l’utilisateur.
## **KENYA SUSPENDS WORLD COIN ACTIVITIES DUE TO PRIVACY CONCERNS**
Le gouvernement kényan a ordonné la suspension des activités de Worldcoin dans le pays, dans le cadre d’un examen visant à évaluer les risques potentiels liés à la confidentialité et à la sécurité. Worldcoin est un projet lancé par Sam Altman, fondateur de OpenAI, qui utilise l’analyse de l’iris pour créer une identité numérique unique, liée aux crypto-monnaies gérées par l’application World. Le projet, qui a été lancé la semaine dernière, a suscité un grand intérêt, avec de nombreuses personnes faisant la queue pour faire scanner leurs iris par les orbs argentés installés dans les grandes villes du monde entier.
Selon Reuters, le Comité des Communications du Kenya a indiqué qu’il évaluerait le projet Worldcoin en raison d’un manque de clarté concernant la sécurité et le stockage des scans d’iris collectés, ainsi que de l’incertitude entourant la crypto-monnaie associée. De plus, les autorités ont exprimé des réserves quant aux incitations offertes pour inciter les gens à faire scanner leurs iris.
Un rapport de Rest of World révèle que les Kenyans ont reçu 25 Worldcoins, d’une valeur d’environ 7 100 shillings kényans (environ 50 dollars), simplement en s’inscrivant au service. Cependant, peu de personnes étaient réellement conscientes des objectifs du projet et recherchaient principalement la récompense de 50 dollars. La suspension a entraîné l’impossibilité d’accueillir les milliers de personnes qui attendaient pour faire scanner leurs iris, selon The Standard, un journal kényan.
Il convient de noter que d’autres pays, tels que la France, l’Allemagne et le Royaume-Uni, examinent également les risques potentiels associés à Worldcoin et la possible violation des protections de la vie privée. Malgré ces préoccupations, Worldcoin soutient que les données biométriques ne quittent jamais l’orb et sont définitivement supprimées après l’inscription. La société conserve uniquement l’IrisCode, un ensemble unique de chiffres représentant l’identité de l’utilisateur.