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les bons gestes à adopter pour protéger les jeunes enfants

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Le Pr Romain Basmaci, pédiatre, a délivré plusieurs conseils aux parents pour prévenir la bronchiolite et limiter sa transmission.

Sa circulation est “particulièrement intense cet hiver”. La bronchiolite met particulièrement en tension les services pédiatriques cette année. La maladie virale, très contagieuse, peut en effet donner des formes graves et même conduire à des hospitalisations en réanimation.

“Dans la majorité des cas, cette infection est bénigne et guérit spontanément en une semaine ou dix jours”, explique le Pr Romain Basmaci, pédiatre à l’hôpital Louis-Mourier de Colombes (AP-HP) lors de la conférence de presse de François Braun consacré aux trois épidémies de cette saison.

Se laver les mains et éviter les lieux surpeuplés

Quelques gestes simples permettent malgré tout de prévenir le risque d’infection. Ainsi, il est particulièrement recommandé de se laver les mains avant de toucher un nourrisson. De même, il faut éviter d’embrasser les bébés si on est enrhumé.

La fréquentation d’endroits surpeuplés (transports en commun, magasins etc.) est par ailleurs vivement déconseillée: “il faut éviter d’exposer les tous petits à ces endroits très à risque”. L’environnement dans lequel vit le bébé a aussi son importance: il est recommandé d’aérer les pièces et d’éviter de fumer en présence des bébés. Enfin il faut nettoyer les objets pouvant entrer en contact avec le nourrisson, désinfecter les surfaces et éviter d’échanger les jouets et tétines entre les enfants.

Lavez le nez et fractionner les repas du bébé malade

Le risque zéro n’existant pas, il est possible que votre enfant soit atteint par la bronchiolite. Quelques symptômes permettent de savoir s’il est bien touché par cette infection virale.

“Les premiers signes c’est surtout un rhume puis un petit peu de fièvre et de la toux. Une toux sèche puis grasse et enfin une gêne, une détresse respiratoire”, détaille le Pr Romain Basmaci, “les enfants vont alors se mettre à respirer très vite ou alors beaucoup trop lentement, faire beaucoup d’efforts pour respirer et donc être fatigué”.

Le pédiatre ajoute que les jeunes enfants atteints ont par ailleurs “des difficultés à s’alimenter”.

S’il n’existe pas de traitement spécifique, il est toutefois possible pour un adulte d’aider un enfant à respirer et à s’alimenter. Pour cela, il est conseillé de laver le nez du nourrisson “aussi souvent que nécessaire au sérum physiologique” et entre chaque repas. Enfin il est aussi possible de fractionner l’alimentation du jeune enfant en lui donnant des quantités plus faibles, mais plus souvent dans la journée.

Hugues Garnier Journaliste BFMTV

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Written by Barbara

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