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En 2019, Netflix a absorbé un quart du trafic Internet français

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En France, quatre grands acteurs du streaming vidéo représentent à eux seuls la majorité du trafic Internet. Netflix culmine en première place, avec près de 25% du trafic à lui seul.

Les quatre principaux fournisseurs de contenus gagnent encore du terrain auprès des Français. En 2019, Netflix, Google, Akamai et Facebook ont franchi le cap des 55% du trafic Internet, contre 53% l’année précédente, d’après le tout dernier rapport de l’Arcep.

En la matière, Netflix trône, une fois de plus, en première place, d’après l’autorité de régulation des télécoms. Avec 24% du trafic Internet, le service de streaming vidéo gagne 1% par rapport à l’année précédente. Le point commun entre ces quatre acteurs ? Tous proposent des vidéos: Google, par le biais de YouTube, Akamaï, qui fournit des serveurs cache – chargés de fluidifier la diffusion de vidéo en direct – à Microsoft et Apple, ou Facebook, via ses lives, stories ou simples vidéos publiées par ses utilisateurs. Le trafic rapporté est celui mesuré par les principaux fournisseurs d’accès à internet en France, Orange, Free, SFR et Bouygues.

Le trafic Internet en France, en 2019.
Le trafic Internet en France, en 2019. © Arcep

Rien sur le confinement

Il faudra attendre un prochain rapport de l’Arcep pour obtenir des données sur la période du confinement, et sur son principal paradoxe en matière de trafic Internet: alors que le recours au streaming vidéo a bondi durant ces quelques semaines, les plus grands acteurs du streaming vidéo ont été forcés de réduire leurs débits respectifs, pour ne pas empiéter sur les outils de télétravail ou d’école à distance.

Les GAFAM ont par ailleurs profité de cette période pour asseoir leur domination. D’après Médiamétrie, Google, avec 39 millions de visiteurs quotidiens, Facebook (31 millions) et YouTube (22 millions) se sont hissés sur le podium des sites les plus visités quotidiennement par les Français le mois d’avril, seul mois complet de confinement. Durant cette période, le temps accordé par les Français à Internet était de trois heures par jour, soit 50% de plus que l’année précédente.

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