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quelle est cette nouvelle alternative à la prothèse du genou ?

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Une alternative à la prothèse du genou quand on souffre d’arthrose a peut-être été trouvée. Il s’agit d’un piston qui va amortir l’articulation, comme sur les voitures. Cet amortisseur, discret, se place de chaque côté du genou, entre le bout de l’os de la cuisse et le tibia. Cela se fait avec une petite incision de 3-4 cm en ambulatoire, c’est-à-dire que l’on peut rentrer chez soi juste après. Une fois installé, le piston va amortir et absorber toute la pression mise sur l’articulation, ce qui va réduire, voire éviter les douleurs.

 

Le genou est l’articulation du corps la plus sollicitée. À force de frottements, elle finit par s’user, ce qui provoque des douleurs quand on marche ou quand on monte les escaliers. C’est cela l’arthrose, et aujourd’hui, plus de 30% des personnes entre 65 et 75 ans en souffrent. Ce nouveau traitement pourrait donc pouvoir les soulager.

Une opération beaucoup plus légère

L’opération est totalement différente d’une chirurgie du genou. Cette dernière consiste à le remplacer totalement ou partiellement par une prothèse. C’est une opération lourde, irréversible, sous anesthésie générale et qui demande une longue rééducation. C’est pourquoi on ne la propose qu’en dernier recours, quand la douleur n’est plus supportable. On va plutôt commencer par des anti-douleurs classiques, puis des injections qui vont comme huiler l’articulation. Mais après, on n’avait pas d’autre choix que la prothèse.

 

Désormais, il y aura aussi l’option de l’amortisseur qui va retarder encore plus le passage à la prothèse. Encore une fois, ce sera une opération légère. On ne touche ni à l’os, ni aux ligaments, ni au cartilage. On installe juste le petit piston sur le côté, et on rentre chez soi le soir même.

Une technologie développée depuis près de dix ans

Toutefois, si on ne peut pas encore se faire soigner avec ce traitement, cela ne saurait tarder. La technologie est développée depuis près de dix ans. Or, en médecine, on prend son temps pour vérifier l’efficacité et s’assurer que l’amortisseur résiste dans la durée, qu’il n’y a aucun rejet. C’est ce qui vient d’être validé dans une longue étude clinique. La technique va donc pouvoir commencer à être intégrée aux thérapies.

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