Selon des chercheuses américaines, les personnes ayant des ancêtres africains sont plus sujettes aux cancers du sein, et en particulier celui de type triple négatif, le plus agressif de tous les cancers du sein. Les scientifiques espèrent que leur découverte incitera davantage de personnes d’ethnies différentes à participer à des essais cliniques afin de mieux comprendre et d’améliorer le taux de survie à la maladie.