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Elon Musk a immédiatement licencié des dirigeants après avoir racheté le réseau social

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Après des mois d’une saga à rebondissements, le multimilliardaire a pris le contrôle de Twitter ce jeudi. Il a immédiatement licencié le patron de l’entreprise, Parag Agrawal, indique le “Washington Post”

C’est fait: Elon Musk, le patron de Tesla et SpaceX, a pris le contrôle de Twitter jeudi (vendredi dans la nuit, heure française) après avoir conclu l’acquisition du réseau social pour 44 milliards de dollars.

Et comme premier acte de propriétaire de Twitter, l’homme le plus riche au monde a immédiatement licencié le patron Parag Agrawal et deux autres dirigeants: le directeur financier Ned Segal et la responsable des affaires juridiques Vijaya Gadde, rapporte le Washington Post.

Vers un retour de Trump

Jeudi, Elon Musk a tenté de rassurer les annonceurs en affirmant qu’il voulait permettre à toutes les opinions de s’exprimer sur le réseau social, sans pour autant en faire une plateforme “infernale” où tout serait permis.

Il est “important pour l’avenir de la civilisation d’avoir une place publique en ligne où une grande variété d’opinions peuvent débattre de façon saine, sans recourir à la violence”, a-t-il écrit dans un message spécifiquement adressé aux marques, qui rapportent l’essentiel des revenus de Twitter.

Se présentant comme un ardent défenseur de la liberté d’expression, l’entrepreneur a déjà indiqué qu’il entendait assouplir la modération des contenus, ravivant les inquiétudes sur un possible regain d’abus et de désinformation sur la plateforme.

Il a, par exemple, ouvert la porte à un retour de Donald Trump, évincé de Twitter peu après l’assaut du Capitole en janvier 2021. De quoi rebuter les annonceurs, qui préfèrent généralement adosser leurs pubs à des contenus consensuels.

Bientôt d’autres licenciements?

Selon un article du Washington Post la semaine dernière, l’homme d’affaires a indiqué à des investisseurs qu’il comptait, à terme, licencier quasiment 75% des 7.500 employés de Twitter.

“Cela a foutu un coup à pas mal de gens”, note un employé, qui a parlé à l’AFP sous couvert d’anonymat.

Il a calculé, d’après les chiffres en interne, que plus de 700 salariés avaient déjà quitté le groupe californien depuis juin. “Ce sont plutôt des départs volontaires, soit pour des raisons éthiques, soit pour des raisons bassement financières, parce qu’une entreprise non cotée, c’est moins intéressant”, estime-t-il.

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Written by Germain

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