Barbara
En ce qui concerne le Motorola Razr, il y a plusieurs fonctionnalités que j’apprécie, à commencer par le prix : son prix de vente conseillé est de 699 $, ce qui en fait déjà le téléphone à clapet moderne le moins cher que l’on puisse acheter aux États-Unis. Il est actuellement en promotion à 499 $, et des remises seront probablement faciles à trouver tout au long de sa vie, aussi.
Je suis également fan du joli fini en “cuir végétalien” vert de mon unité de test. En théorie, j’aime aussi le concept du petit écran externe. Il mesure seulement 1,5 pouces en diagonale, il est donc vraiment conçu uniquement pour consulter les notifications ou jeter un coup d’œil au prochain événement de votre calendrier. Vous obtenez l’essentiel et rien de plus, vous pouvez donc lire un texto ou vérifier le temps sans vous laisser entraîner dans une session de défilement non planifiée. Lorsque vous devez vraiment vous plonger dans quelque chose, il vous suffit de déplier le Razr et là se trouve votre écran de téléphone habituel – ça a l’air génial!
Mais voici ce que je n’aime pas : faire presque n’importe quoi avec le Razr nécessite d’ouvrir le téléphone, ce qui contrevient largement à son objectif. Dans une utilisation quotidienne, vous atteignez rapidement les limites de ce que vous pouvez faire avec l’écran extérieur, et son invitation à “ouvrir pour continuer” lorsque vous voulez lire plus que la ligne d’objet d’un e-mail devient ennuyeuse.
La chose est que l’utilisation d’un écran tout petit juste pour vérifier vos notifications prend en fait plus de travail dans certains cas que pour un téléphone standard. Vous devez faire défiler vers le haut et vers le bas l’affichage en format lettre pour les voir, et si vous voulez plus de contexte, vous devez passer par plusieurs écrans. C’est beaucoup moins efficace que jeter un coup d’œil à un écran verrouillé, développer les notifications lorsque vous voulez en lire davantage, et rapidement rejeter celles que vous voulez ignorer. J’étais souvent tenté de laisser le téléphone déplié sur mon bureau lorsque je ne l’utilisais pas pour rattraper mon retard plus rapidement, ce qui contredit une fois de plus le but du téléphone qui se plie en deux.
