Un traitement hormonal est à même de réduire le risque de développer la maladie d’Alzheimer chez les femmes qui commencent à être ménopausées, ressort-il d’une étude de l’hôpital universitaire de Gand (UZ Gent) et de la Sorbonne (Paris), pointant un marqueur biologique comme responsable du processus de dégénérescence. Cette période, qui correspond à l’arrêt définitif des menstruations, augmente les risques de maladies cardiovasculaires, d’ostéoporoses et de cancer du sein.