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La perte de mémoire pourrait être réduite grâce à une molécule présente dans les oignons et le thé vert

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Une étude a mis en évidence que la dégénérescence cognitive pouvait être ralentie par l’ingestion régulière de quantité importantes de flavonols, un type de molécules présent dans plusieurs aliments, particulièrement dans les oignons et le thé vert.

Les flavonols, une famille de molécules contenus dans de nombreux fruits, légumes ainsi que dans le thé et le vin, pourraient permettre de ralentir la dégénérescence cognitive chez les personnes qui en consomment le plus, selon une étude menée par des neurologues américains sur près d’un millier de personnes ayant entre 60 et 100 ans et relayée par CNN.

La consommation importante de flavonols est notamment associée avec une limitation des pertes de mémoire, peu importe l’âge des personnes étudiées, leur sexe ou leur consommation de tabac, selon l’étude, publiée dans Neurology, le journal médical de l’Académie américaine de neurologie.

Oignon et thé vert, les plus grosses sources de flavonols

Les oignons sont les aliments qui contiennent le plus de flavonols, particulièrement les oignons rouges, de même que le thé vert. On trouve également des doses importantes dans le moringa, une plante originaire d’Inde et du Sri Lanka, ainsi que dans les brocolis, les myrtilles, les choux-fleurs, les feuilles de chou kale, les poireaux, les épinards et les fraises.

“Il est passionnant de voir que notre étude montre que faire des choix alimentaires spécifiques peut conduire à un ralentissement du déclin cognitif”, a déclaré dans un communiqué l’auteur de l’étude, le Docteur Thomas Holland, enseignant au centre médical de l’université Rush à Chicago.

Des types spécifiques de flavonols avaient déjà été associés à l’amélioration de la santé des personnes au cours d’études précédentes. L’une d’entre elles, la quercétrine, très présente dans les oignons, a été mise en relation avec la diminution des risques de cancers, particulièrement les cancers colorectaux. Une autre, la myrécétine, a été associée, chez des rongeurs, à des réductions de risques de maladie d’Alzheimer et à un meilleur contrôle du niveau de sucre dans le sang.

Pas de lien de causalité

L’étude a été menée sur des habitants de la ville de Chicago, aux États-Unis, qui consommaient en moyenne 10 milligrammes de flavonols par jour (5mg par jour pour ceux qui en consommaient le moins, 15 mg par jour pour ceux qui en consommaient le plus. Les adultes américaines consomment en moyenne entre 16 et 20 milligrammes par jour.

Malgré leurs diverses découvertes, les auteurs de l’étude soulignent qu’aucun lien de causalité n’a encore été démontré entre une consommation importante de flavonols et un ralentissement de la dégénérescence cognitive.

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Written by Barbara

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