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les autorités de santé recommandent la vaccination des enfants à risque de 6 mois à 4 ans

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La Haute autorité de santé recommande pour la première fois l’ouverture de la vaccination contre le Covid-19 des enfants de 6 mois à 4 ans pouvant présenter des formes graves de la maladie.

Jusqu’alors, seuls les enfants de 5 ans et plus étaient éligibles à la vaccination contre le Covid-19. La Haute autorité de santé (HAS) recommande l’ouverture de la vaccination des enfants de 6 mois à 4 ans pouvant présenter des formes graves de Covid-19, indique l’organisme dans un communiqué publié de lundi.

Après l’obtention par Pfizer d’une extension d’indication de son vaccin aux enfants de moins de 5 ans par l’Agence européenne du médicament, la Haute autorité de santé recommande d’ouvrir la primovaccination pour les plus jeunes à partir de 6 mois particulièrement vulnérables. Le vaccin “doit être administré selon un schéma vaccinal à trois doses, avec un premier intervalle de 3 semaines, puis un second intervalle d’au moins 8 semaines”, précise la HAS.

Le 19 octobre dernier, l’Agence européenne des médicaments (EMA) a “recommandé d’inclure l’utilisation chez les enfants âgés de 6 mois à 4 ans pour Comirnaty”, de Pfizer, et “l’utilisation chez les enfants âgés de 6 mois à 5 ans pour Spikevax”, de Moderna, a déclaré le régulateur européen dans un communiqué.

Les enfants présentant des comorbidités concernés

Pour émettre cet avis, la HAS s’appuie sur les dernières données concernant l’épidémie de Covid-19 en France. Selon Santé Publique France, les moins de 1 an représentent 70% des hospitalisations des 0-17 ans atteints par la maladie et 84% des admissions en soins critiques. La HAS estime que le vaccin du laboratoire Pfizer présente une efficacité de 80,3% contre les cas symptomatiques de Covid-19 pour les enfants âgés de 6 mois à 4 ans.

La HAS recommande ainsi la vaccination pour les enfants présentant des comorbidités comme les cardiopathies congénitales, les maladies hépatiques chroniques, les maladies cardiaques et respiratoires chroniques, les maladies neurologiques, l’immunodéficience primitive ou induite par médicaments, l’obésité, le diabète, les hémopathies malignes, la drépanocytose et la trisomie 21. Sont concernés les enfants vivant dans l’entourage de personnes immunodéprimées.

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Written by Barbara

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