in

Nouveau casting pour Radio Classique

[ad_1]

Publié le 1 sept. 2022 à 19:34Mis à jour le 1 sept. 2022 à 19:42

Rentrée spéciale sur les ondes de Radio Classique avec Guillaume Durand, désormais dans un rôle de chef d’orchestre chargé de l’information, et Bertrand Dermoncourt, spécialiste reconnu de la musique classique, devenant quant à lui directeur général de la radio du groupe Les Echos – Le Parisien.

Les week-ends de la radio qui mise sur la musique classique, la culture et l’information seront tout particulièrement enrichis. Frédéric Beigbeder fait son arrivée sur l’antenne avec une émission le vendredi à 19 heures. Le romancier va recevoir au micro de grands écrivains. Samedi et dimanche, Daphné Roulier mettra en lumière des grandes femmes musiciennes, interprètes et compositrices.

Des « capsules » par Fabrice Luchini

Fabrice Luchini rejoint aussi Radio Classique avec des « capsules » d’environ 6 minutes qui seront diffusées en week-end : il s’agit de lectures de grands textes sur la musique. « Nous voulons aller plus loin dans la stratégie d’incarnation », explique Bertrand Dermoncourt. D’autres chroniqueurs, comme Rachel Khan, rejoindront des signatures déjà présentes à l’antenne la saison dernière tels Luc Ferry ou Franz-Olivier Giesbert.

Radio Classique reste en tête-à-tête avec France Musique au niveau national autour de la barre des 2 % d’audience. « Si Radio Classique tend vers ce niveau, c’est une bonne performance dans un contexte difficile pour le média radio », estime Pierre Louette, le PDG du groupe Les Echos – Le Parisien.

Droit de préemption des fréquences

Pour accroître son audience, la radio souhaiterait disposer de davantage d’émetteurs. Radio Classique dispose en effet actuellement de 97 fréquences FM, y compris une dizaine que l’antenne s’est vu attribuer au cours des dix-huit derniers mois. Mais certains verrous l’empêchent d’accélérer, comme l’article 26 de la loi de 1986 qui établit un droit de préemption des fréquences en faveur du service public.

L’article 26 « devrait selon moi être supprimé car il est obsolète et peut apparaître comme un facteur de distorsion de concurrence, indique Pierre Louette. Parfois je me dis que l’on risque d’assister à une éviction des acteurs privés du paysage de la radio par le secteur public, personne ne peut souhaiter cela ! ».

Pour le dirigeant, il est nécessaire de garantir aux radios privées des « conditions égalitaires d’accès au public ». Pour cela, « il faudrait accélérer la restitution ou redistribution des fréquences. Par exemple, Radio France pourrait accélérer son déploiement via le DAB+ et redistribuer des fréquences », affirme-t-il.

[ad_2]

What do you think?

Written by Germain

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *

La première image directe de James-Webb d’une exoplanète dépasse toutes les attentes !

Certains sirops contre la toux pourraient ne plus être autorisés en France